Selon la dernière édition du "Football money league", publié ce jeudi 24 janvier, le Real Madrid a considérablement augmenté ses revenus, qui atteignent 512 millions d'euros. Voici le classement des 20 clubs les plus riches du monde.
A défaut de l’être sur le terrain, le Real Madrid est le meilleur club du monde en termes de... revenus. Cette année encore, le club de la capitale espagnole a sensiblement augmenté son chiffre d’affaires, et devient le premier club de l’Histoire à dépasser la barre des 500 millions d’euros (512,6 millions pour l’exercice 2011/2012 contre 479,5 l’an passé). C’est ce qui ressort du traditionnel "Football Money league", publié par Deloitte ce jeudi 24 janvier.
Les cinq premiers du classement n’ont d’ailleurs pas changé par rapport à l’an dernier, et ont tous fait progresser leur chiffre d’affaires. En deuxième position, on trouve ainsi le FC Barcelone, avec 483 millions d’euros de revenus (+7%). Manchester United complète le podium avec 395,9 millions d’euros (+8%).
Suivent le Bayern Munich (368,4 millions, +15%), et Chelsea (322,6 millions, +27%). La progression spectaculaire du club londonien est en grande partie dû à sa victoire en Ligue des Champions. Un raisonnement qui vaut aussi pour le Bayern, son adversaire en finale.
En France, l’Olympique de Marseille reste le club aux plus hauts revenus, malgré une baisse sensible (de 150,4 à 135,7 millions d’euros, soit une chute de 10%). L'Olympique lyonnais talonne désormais le club phocéen, accusant une très légère baisse de ses revenus (de 132,8 à 131,9 millions, -0,7%). Le Paris Saint-Germain n’apparaît pas (encore) dans ce classement, qui recense les 20 clubs aux plus forts revenus.
L'économie du football représenterait 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France et 400 milliards dans le monde1.
Mais les choses ont depuis bien changé. Le joueur le mieux payé au monde en 2008 (salaires et revenus annexes) était David Beckham avec 31 millions d'euros par an selon France Football10, 48 millions de dollars soit 37 millions d'euros selon Sports Illustrated11, ce qui en faisait le troisième sportif le mieux payé au monde, loin derrière les golfeurs Phil Mickelson (62 Mio USD dont 53 de revenus annexes) et surtout Tiger Woods (128 Mio USD, dont 105 de revenus annexes)12. En 2009, David Beckham était toujours le mieux payé avec 32,4 millions d'euros par an, dont 4,9 millions d'euros de salaire hors primes, derrière Zlatan Ibrahimović (11 millions d'euros par an de l'Inter Milan), Kaká (9 millions d'euros du Milan AC), Lionel Messi et Thierry Henry (8,5 et 8 millions d'euros à Barcelone) et Cristiano Ronaldo (7,3 millions d'euros annuels de Manchester United)13. En 2011, Messi est déclaré par France Football comme étant le footballeur le mieux payé au monde avec un salaire annuel brut de 33 millions d'euros, devant Beckham (31 millions) et Cristiano Ronaldo (29 millions)14.
À titre de comparaison, les joueurs les mieux payés en France pour la saison 2008-2009 (hors revenus annexes) sont Juninho Pernambucano (380 000 euros par mois soit 4,6 millions annuels) et Claude Makelele (320 000 euros soit 3,8 millions annuels)15. France Football a revu en mars 2009 ses chiffres à la hausse, estimant que Claude Makelele percevait en réalité 4,5 millions d'euros bruts annuellement, et que Karim Benzema était le mieux payé avec 4,8 millions d'euros annuels bruts13. Selon L'Équipe, en 2009-2010 les joueurs les mieux payés de Ligue 1 seraient Lisandro López (Lyon) avec 425 000 euros bruts mensuels devant Yoann Gourcuff (Bordeaux, 310 000 euros) et Lucho Gonzalez (Marseille, 300 000), Claude Makelele gagnant désormais 270 000 euros par mois16.
Pour la saison 2007-2008, le salaire moyen net mensuel en Ligue 1 était de 41 000 euros, contre 150 000 euros en Angleterre selon France Football15. Pour la saison 2008-2009, il était de 51 300 euros bruts (+ 15 %)13. Selon L'Équipe, le salaire moyen mensuel brut en L1 était de 47 700 euros en 2008-2009, contre 45 300 euros en 2009-201016.
Par ailleurs, il semble y avoir une très forte corrélation entre masse salariale d'une équipe et résultats sportifs sur le long-terme17.
Si les salaires aujourd'hui des footballeurs semblent aux yeux de certains très élevés, il faut savoir qu'en France, en 2013, on estimait qu'en fin de carrière, seuls 150 footballeurs professionnels (sur 2 000) pourraient vivre grâce à l'argent gagné lors de leur carrière, imposant donc aux autres une reconversion18.
En France, selon le Journal du dimanche, le salaire moyen d'un entraineur de Ligue 1 était de 68 500 euros, supérieur au salaire moyen des joueurs (45 300 euros)19. L'entraîneur le mieux payé était Claude Puel (Lyon) avec 250 000 euros par mois, soit 3 millions d'euros par an, devant Didier Deschamps (Marseille, 180 000 euros), Laurent Blanc (Bordeaux, 140 000 euros), Alain Perrin (Saint-Étienne, 110 000 euros) et Antoine Kombouaré (Paris, 96 000 euros)19.
Le sélectionneur le mieux payé était Fabio Capello (Angleterre) avec 560 000 euros net par mois et 8 millions d'euros de primes sur deux ans, Raymond Domenech ne gagnant « que » 40 000 euros brut par mois, et 826 000 euros de primes19.
Un Observatoire des Footballeurs Professionnels est créé en 2006 par le Centre international pour l'Étude du Sport (CIES) de l'université de Neuchâtel pour recenser les principaux transferts dans le monde du football21.
¹ : recettes en millions d'euros
Les montants financiers sont importants et les déficits de certains
clubs peuvent également atteindre des montants record. La santé
financière des clubs constitue un double enjeu : assurer leur pérennité
et éviter le dopage financier, c'est-à-dire acheter une équipe à crédit.
La France a mis en place au milieu des années 1990 la DNCG
qui a mission de contrôler les comptes financiers des clubs
professionnels avec le pouvoir de reléguer les clubs, d'interdire un
club de promotion ou de limiter leur masse salariale. Longtemps en
déficit chronique, les clubs de Ligue 1 présentent des comptes bénéficiaires depuis deux ans : plus de 42 millions d'euros de bénéfice net en 2006-2007 sur les 20 clubs de L126. Souvent évoquée, une DNCG européenne reste à créer afin d'éviter certaines dérives27 .
L'introduction des clubs en bourse est une évolution récente ne touchant que quelques rares clubs. À la fin de la saison 2006-2007, 11 clubs anglais, 5 Danois, 4 Turcs, 4 Italiens, 3 Portugais, 2 Français, 1 Écossais, 1 Néerlandais, 1 Suédois et 1 Allemand étaient côtés en bourse28.
Recettes aux guichets
Le football se transforme en business dès le milieu des années 1880 au Royaume-Uni2. Les solides recettes enregistrées aux guichets permettent de financer l'adoption du professionnalisme et la construction de stades. Au niveau des affluences, la première saison du championnat d'Angleterre (1888-1889) affiche 4639 spectateurs de moyenne par match3. La marque de 10 000 spectateurs de moyenne est franchie avant la fin du XIXe siècle, celle des 20 000 avant la Première Guerre mondiale4. Les recettes guichets restent l'élément essentiel du budget des clubs jusqu'aux années 1990. Elles sont progressivement supplantées par les droits de retransmission télévisuelle. Cela dit, pour certains clubs proposant des services annexes (bar, restaurant, voiturier, etc.), les recettes de billetterie sont très importantes (ex: Arsenal)5.Publicité
Si les maillots restent longtemps vierges de toute publicité, le stade est très vite doté de panneaux publicitaires. La publicité constitue un poste important des recettes, notamment depuis la fin des années 1960 et l'autorisation d'arborer des publicités sur les maillots en octobre 1969 en France après une tentative avortée en 1968 : la Ligue voulait imposer à tous les clubs le même partenaire. Le Nîmes Olympique et l'Olympique de Marseille sont les premiers clubs professionnels français à porter une publicité sur leurs maillots6. L'UEFA autorise les publicités sur les maillots en coupes d'Europe des clubs à partir de 1982, sauf pour les finales où l'interdit est levé en 1995. La FIFA interdit les publicités sur les maillots des équipes nationales.Droits radio et télévision
Les droits payés par la télévision représentent 1 % des recettes des clubs français en 1980. Ce type de recettes concernent en fait seulement les clubs disputant des coupes européennes. La situation est identique dans les autres nations européennes. Il faut attendre 1983 en Angleterre et 1984 en France pour assister à la signature de contrats de retransmissions des championnats. Les clubs refusèrent longtemps ces contrats car la télévision n'était pas prête à les rémunérer correctement. Concurrence entre les chaines oblige, les montants des contrats augmentent rapidement et la part dans les recettes des clubs passe à un tiers, puis aux deux tiers des budgets. Cette dépendance n'est pas sans danger. Ainsi, en Allemagne le groupe Kirch qui contrôlait les droits de la Bundesliga dépose son bilan le 8 avril 2002 mettant en péril l'économie du championnat d'Allemagne. Le gouvernement allemand intervient puis la situation se stabilise à la suite de la signature d'un nouveau contrat de diffusion avec un autre opérateur. La faillite du groupe ITV en Angleterre a également plombé les budgets clubs anglais de seconde division5.Produits dérivés
Les produits dérivés, des programmes de matches aux gadgets aux couleurs des clubs, apparaissent également dès la fin du XIXe siècle outre-Manche. Le merchandising représente une source importante de revenus pour certains clubs tandis que d'autres, français notamment, négligent ce marché. En 2005-2006, le Paris Saint-Germain n'enregistre que 833 000 euros de recettes de merchandising, en baisse de 34 % par rapport à la saison précédente7. Chez les clubs britanniques, la part du merchandising est beaucoup plus importante, car l'offre est beaucoup plus diversifiée et la distribution correctement assurée.Autres recettes
L'organisation de rencontres génère également toutes sortes de retombées économiques ne concernant pas directement le club ni même le monde du football. Auxerre, petite ville moyenne française, doit en grande partie sa notoriété, en France comme à l'étranger, à son équipe de football8. L'AJA est un véritable ambassadeur de la ville, qui profite de plus de retombées directes en matière d'hôtellerie et d'activités accrues pour les cafés-restaurants, notamment. De même, l'organisation d'une Coupe du monde ou d'un Euro, permet à une nation (ou un binôme comme le cas Suisse-Autriche pour l'Euro 2008) de procéder à une efficace campagne de promotion et de s'équiper en stades mais aussi en moyens de transports ou en hôtels, notamment. Les conséquences sur la hausse du produit national brut restent discutées, mais l'Organisation mondiale du tourisme met en avant la Coupe du monde pour expliquer la hausse importante du tourisme international en Allemagne en 2006 (+9,6 %)9.Dépenses
Salaires
Footballeurs
Les salaires des footballeurs restent longtemps médiocres. Certains clubs comme le Real Madrid ou les clubs anglais proposent toutefois de meilleures conditions salariales dans les années 1950-1960, mais il faut attendre la mise en place du contrat à temps dans les années 1970 pour voir les salaires des footballeurs augmenter de manière significative. Au milieu des années 1980, les salaires des footballeurs restent encore en retrait par rapport à d'autres disciplines comme la Formule 1, le basket-ball américain, la boxe, le golf et le tennis notamment. La star Diego Maradona ne reçoit ainsi « que » 7,5 millions de francs par saison à Naples tandis que le boxeur Larry Holmes perçoit plus de 45 millions de francs sur la seule année 1984.Mais les choses ont depuis bien changé. Le joueur le mieux payé au monde en 2008 (salaires et revenus annexes) était David Beckham avec 31 millions d'euros par an selon France Football10, 48 millions de dollars soit 37 millions d'euros selon Sports Illustrated11, ce qui en faisait le troisième sportif le mieux payé au monde, loin derrière les golfeurs Phil Mickelson (62 Mio USD dont 53 de revenus annexes) et surtout Tiger Woods (128 Mio USD, dont 105 de revenus annexes)12. En 2009, David Beckham était toujours le mieux payé avec 32,4 millions d'euros par an, dont 4,9 millions d'euros de salaire hors primes, derrière Zlatan Ibrahimović (11 millions d'euros par an de l'Inter Milan), Kaká (9 millions d'euros du Milan AC), Lionel Messi et Thierry Henry (8,5 et 8 millions d'euros à Barcelone) et Cristiano Ronaldo (7,3 millions d'euros annuels de Manchester United)13. En 2011, Messi est déclaré par France Football comme étant le footballeur le mieux payé au monde avec un salaire annuel brut de 33 millions d'euros, devant Beckham (31 millions) et Cristiano Ronaldo (29 millions)14.
À titre de comparaison, les joueurs les mieux payés en France pour la saison 2008-2009 (hors revenus annexes) sont Juninho Pernambucano (380 000 euros par mois soit 4,6 millions annuels) et Claude Makelele (320 000 euros soit 3,8 millions annuels)15. France Football a revu en mars 2009 ses chiffres à la hausse, estimant que Claude Makelele percevait en réalité 4,5 millions d'euros bruts annuellement, et que Karim Benzema était le mieux payé avec 4,8 millions d'euros annuels bruts13. Selon L'Équipe, en 2009-2010 les joueurs les mieux payés de Ligue 1 seraient Lisandro López (Lyon) avec 425 000 euros bruts mensuels devant Yoann Gourcuff (Bordeaux, 310 000 euros) et Lucho Gonzalez (Marseille, 300 000), Claude Makelele gagnant désormais 270 000 euros par mois16.
Pour la saison 2007-2008, le salaire moyen net mensuel en Ligue 1 était de 41 000 euros, contre 150 000 euros en Angleterre selon France Football15. Pour la saison 2008-2009, il était de 51 300 euros bruts (+ 15 %)13. Selon L'Équipe, le salaire moyen mensuel brut en L1 était de 47 700 euros en 2008-2009, contre 45 300 euros en 2009-201016.
Par ailleurs, il semble y avoir une très forte corrélation entre masse salariale d'une équipe et résultats sportifs sur le long-terme17.
Si les salaires aujourd'hui des footballeurs semblent aux yeux de certains très élevés, il faut savoir qu'en France, en 2013, on estimait qu'en fin de carrière, seuls 150 footballeurs professionnels (sur 2 000) pourraient vivre grâce à l'argent gagné lors de leur carrière, imposant donc aux autres une reconversion18.
Entraineurs
Selon le site Internet portugais Futebol Finance, Luiz Felipe Scolari (FC Bunyodkor) était l'entraineur de club le mieux payé au monde en 2009-2010, avec 16,6 millions d’euros annuels, devant José Mourinho (Inter Milan, 11,3 millions), Alex Ferguson (Manchester United, 7,6 millions) et Carlo Ancelotti (Chelsea, 6 millions plus une prime d’1,1 million en cas de doublé championnat-Ligue des champions)19. L’entraîneur français le mieux payé était Arsène Wenger à Arsenal, avec 4,8 millions d'euros par an19.En France, selon le Journal du dimanche, le salaire moyen d'un entraineur de Ligue 1 était de 68 500 euros, supérieur au salaire moyen des joueurs (45 300 euros)19. L'entraîneur le mieux payé était Claude Puel (Lyon) avec 250 000 euros par mois, soit 3 millions d'euros par an, devant Didier Deschamps (Marseille, 180 000 euros), Laurent Blanc (Bordeaux, 140 000 euros), Alain Perrin (Saint-Étienne, 110 000 euros) et Antoine Kombouaré (Paris, 96 000 euros)19.
Le sélectionneur le mieux payé était Fabio Capello (Angleterre) avec 560 000 euros net par mois et 8 millions d'euros de primes sur deux ans, Raymond Domenech ne gagnant « que » 40 000 euros brut par mois, et 826 000 euros de primes19.
Transferts
Article détaillé : Les transferts les plus chers de l'histoire du football.
Les transferts ont toujours existé dans le football et ils donnent rapidement lieu à une certaine surenchère. Le Britannique Alf Common est le premier joueur transféré pour 1 000 £ (1905)20. La marque des 5 000 £ est atteinte en 1922 avec Syd Puddefoot, 10 000 £ en 1928 pour David Jack, 20 000 £ en 1947 pour Tommy Lawton, 100 000 £ en 1961 pour Denis Law, 500 000 £ en 1979 pour David Mills, 1 000 000 £ pour Trevor Francis en 1979 également. Le record actuel est détenu par le transfert de Cristiano Ronaldo de Manchester United vers le Real Madrid en 2009 : 94 millions d'euros.Un Observatoire des Footballeurs Professionnels est créé en 2006 par le Centre international pour l'Étude du Sport (CIES) de l'université de Neuchâtel pour recenser les principaux transferts dans le monde du football21.
Installations
Les clubs ou collectivités propriétaires des stades ne pouvant pas faire face à certains travaux louent le nom du stade à un sponsor. Cette forme de publicité existe déjà en France avant la Première Guerre mondiale avec le Stade du Matin, futur stade olympique de Colombes, qui porte le nom du journal quotidien parisien Le Matin de 1907 à 191922. En 1996, cette pratique est réintroduite par les Américains, et elle touche l'Europe à partir de 1997 avec le nouveau stade des Bolton Wanderers baptisé Reebok Stadium. La FIFA admet mal cette innovation, et à l'occasion de la Coupe du monde 2006 en Allemagne, les noms des stades ne comprenaient officiellement aucun nom de sponsor alors que leur construction fut en partie financée par cette voie23.Bilan et contrôle de gestion
Article connexe : Deloitte Football Money League.
Les clubs générant le plus de revenus (2007-200824 et 2008-200925) sont :Club | Nation | 2007-2008 | 2008-2009 |
Real Madrid | Espagne | 1 (365,8) | 1 (401,4) |
FC Barcelone | Espagne | 3 (308,8) | 2 (365,9) |
Manchester United | Angleterre | 2 (324,8) | 3 (327,0) |
Bayern Munich | Allemagne | 4 (295,3) | 4 (289,5) |
Arsenal | Angleterre | 6 (264,4) | 5 (263,0) |
Chelsea | Angleterre | 5 (268,9) | 6 (242,3) |
Liverpool | Angleterre | 7 (210,9) | 7 (217,0) |
Juventus | Italie | 11 (167,5) | 8 (203,2) |
Inter Milan | Italie | 10 (172,9) | 9 (196,5) |
AC Milan | Italie | 8 (209,5) | 10 (196,5) |
Hambourg SV | Allemagne | 15 (127,9) | 11 (146,7) |
AS Rome | Italie | 9 (175,4) | 12 (146,4) |
Olympique lyonnais | France | 12 (155,7) | 13 (139,6) |
Olympique de Marseille | France | 16 (126,8) | 14 (133,2) |
Tottenham Hotspur | Angleterre | 14 (145,0) | 15 (132,7) |
Schalke 04 | Allemagne | 13 (148,4) | 16 (124,5) |
Werder Breme | Allemagne | - (nc) | 17 (114,7) |
Borussia Dortmund | Allemagne | - (nc) | 18 (103,5) |
Manchester City | Angleterre | 20 (104,0) | 19 (102,2) |
Newcastle United | Angleterre | 17 (125,6) | 20 (101,0) |
VfB Stuttgart | Allemagne | 18 (111,5) | - (nc) |
Fenerbahçe | Turquie | 19 (111,3) | - (nc) |
L'introduction des clubs en bourse est une évolution récente ne touchant que quelques rares clubs. À la fin de la saison 2006-2007, 11 clubs anglais, 5 Danois, 4 Turcs, 4 Italiens, 3 Portugais, 2 Français, 1 Écossais, 1 Néerlandais, 1 Suédois et 1 Allemand étaient côtés en bourse28.